Biocodex est une société pharmaceutique française fondée en 1953 autour du développement et de la commercialisation de la première souche de levure probiotique au monde, Saccharomyces boulardii CNCM I-745. Aujourd'hui Biocodex se développe autour de trois piliers : les microbiotes, la santé de la femme et les maladies orphelines.
Biocodex emploie plus de 1 600 personnes et a réalisé un chiffre d'affaires net de 418 M € en 2021 dont 42 % en France et 58 % à l'international. Le groupe Biocodex est présent dans 124 pays, dont 20 pays à travers ses propres filiales. Ses produits sont distribués dans le reste du monde par des sociétés partenaires.
Pour la quatrième année consécutive et à l’ occasion de l’édition 2008 d’Octobre rose, l’Institut développe, en lien avec le ministère chargé de la Santé et l’Assurance Maladie, un dispositif d’information pour inciter les femmes âgées de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé.
Les ambitions gouvernementales ont été revues à la baisse. Lors de la présentation du budget de la Sécurité sociale ce lundi, le gouvernement a annoncé son objectif pour 2009 : maintenir le déficit du régime général (salariés) sous la barre des 9 milliards d’euros.
3,6 % des hospitalisations sont provoquées par des effets indésirables de médicaments. C’est ce que révèle l’étude EMIR (Effets indésirables des Médicaments, Incidences et Risques) menée par l’Afssaps sur 63 établissements hospitaliers et sur près de 2700 malades hospitalisés d’un âge moyen de 52 ans. Un chiffre stable depuis une dizaine d’année.
Un milliard de dollars de CA annuel dès 2015. C’est l’objectif que s’est fixé Teva-Kowa Pharma, entité issue de l’association à parts égales de l’israélien Teva Pharmaceutical et du japonais Kowa Pharmaceutical et qui devrait voir le jour courant 2009.
Selon le dernier rapport de la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam) diffusé hier mercredi, les dépenses maladie du régime général de la Sécurité sociale augmentent de 4,1% entre septembre 2007 et août 2008.
C’est aujourd’hui que reprenaient les négociations conventionnelles entre les syndicats de médecins et l’Assurance maladie. Discussions interrompues depuis le 25 juillet dernier.
Selon un sondage IPSOS pour le Secours populaire publié ce jeudi, quatre français sur dix (39%) ont déjà dû renoncer à un soin ou le retarder du fait de son coût élevé.
En annonçant hier son intention d’augmenter le prix de son offre en numéraire sur Zentiva à 1150 couronnes tchèques par action, le géant français obtient le soutien à l’unanimité du conseil d’administration du fabricant de génériques.
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