Ipsen signe un contrat de prestation de recherche avec GenoSplice

GenoSplice technology, société de biotechnologie spécialisée dans l’analyse de données biologiques et notamment de l’épissage alternatif, a été choisi par IPSEN Innovation pour l’assister dans l’analyse bioinformatique de l’épissage de gènes d’intérêt.

GenoSplice, située à l’hôpital Saint-Louis à Paris et accompagnée par Genopole® assistera IPSEN Innovation pour identifier de nouvelles pistes thérapeutiques et marqueurs qualifiées en oncologie, endocrinologie et neurologie. GenoSplice apportera son expertise dans la compréhension des mécanismes de l’expression de gènes d’intérêt, dans l’identification et la caractérisation de l’ensemble des variants d’épissage de ces gènes, ainsi que leur produit protéique correspondant.

GenoSplice s’appuie sur son savoir-faire, ses données propriétaires et une capacité rigoureuse d’intégration de données bibliographiques. GenoSplice utilise notamment FAST DB©, sa base de données enrichie en permanence qui permet une interprétation biologique des résultats expérimentaux de l’épissage alternatif chez l’Homme et la souris.

« Nous avons développé nos propres outils d’analyse bioinformatique pour offrir à nos clients académiques et industriels une prestation de service à très forte valeur ajoutée qui leur offre des gains de temps considérables », souligne Marc Rajaud, co-gérant de GenoSplice.

Un service global de bioinformatique (Bioinformatics as a Service – BaaS) est proposé allant de l’hypothèse biologique jusqu’à la validation expérimentale des résultats prédits et leur interprétation biologique. GenoSplice s’est doté d’un parc de serveurs de dernière génération lui permettant ainsi de traiter de grands volumes de données génomiques, notamment issus des dernières technologies de séquençage à très haut-débit.

GenoSplice dispose aujourd’hui d’une plate-forme technologique unique couvrant toutes les applications de la recherche en génomique (expression, épissage alternatif, miARN … ), génétique (SNP…) et épigénétique (méthylation…) et cela quelle que soit la technologie utilisée (puces à ADN, séquençage à haut-débit…), le type d’étude ou le nombre d’échantillons à traiter.

Source : GenoSplice