Merck revoit à la baisse ses estimations de chiffre d’affaires pour 2009

Merck revoit à la baisse ses estimations de chiffre d’affaires pour 2009Merck & Co annonce ce mardi un bénéfice net de 1,425 milliard de dollars au 1er trimestre. Soit un bénéfice courant par action à 74 cents hors éléments exceptionnels. Le groupe pharmaceutique américain revoit à la baisse ses prévisions annuelles de chiffre d’affaires à 23,2 milliards de dollars contre 23,7 milliards précédemment.

Le chiffre d’affaires du groupe américain recule de 8% à 5,38 milliards de dollars. Des ventes notamment impactées par la perte de l’exclusivité de FOSAMAX aux Etats-Unis. Par ailleurs, le groupe précise que son bénéfice net au 1er trimestre recule de 56% à 1,425 milliard de dollars contre 3,3 milliards de dollars à la même période en 2008 qui avait été marquée par un gain exceptionnel de 1,4 milliard de dollars lié à un accord de distribution avec le groupe britannique AstraZeneca.

Un chiffre d’affaire 2009 revu à la baisse
« Nos résultats trimestriels reflètent en partie l’impact d’un environnement économique mondial difficile (…), mais nous restons en bonne voie pour atteindre nos prévisions annuelles de bénéfice par action », déclare  à cette occasion Richard Clark, PDG de Merck&Co. En effet, le groupe pharmaceutique américain confirme ses prévisions concernant son bénéfice courant 2009 entre 3,15 dollars et 3,30 dollars par action. Néanmoins, Merck révise à la baisse ses prévisions annuelles de chiffre d’affaires à 23,2 milliards de dollars contre 23,7 milliards précédemment.

Un « nouveau Merck » à la « solidité financière accrue »
Le groupe américain indique par ailleurs que le processus de fusion avec Schering-Plough « se déroule comme prévu ». « Nous croyons que notre fusion prévue avec Schering-Plough va accélérer la transformation de Merck en un leader mondial dans le secteur de la santé, bâti pour une croissance durable. (…) Le nouveau Merck aura une solidité financière accrue et des capacités accrues en recherche et développement » souligne ainsi Richard Clark.

Pour plus d’informations, consulter le communiqué de Merck & Co