Octobre rose : les médecins et chercheurs de l’Institut Curie contre le cancer du sein

Octobre rose : les médecins et chercheurs de l'Institut Curie contre le cancer du seinAvec une estimation de 51 000 nouveaux cas diagnostiqués en France en 2008, le cancer du sein est le cancer féminin le plus fréquent. Chaque année, plus de 3 500 femmes atteintes de cancer du sein sont prises en charge à l’Institut Curie, parmi lesquelles 1 800 nouvelles patientes.

Plus de 50 % des patients pris en charge à l’Institut Curie viennent pour un cancer du sein. Centre de référence en France pour la prise en charge de cette pathologie, l’Institut Curie accueille chaque année plus de 3 500 patientes atteintes de cancer du sein, dont près de 1 800 nouvelles patientes.

L’Institut Curie possède une expertise internationale dans toutes les approches thérapeutiques et privilégie au maximum les traitements conservateurs. Les meilleures compétences et les techniques les plus performantes en chirurgie, chimiothérapie et radiothérapie sont mises au service des patientes avec le souci permanent de leur qualité de vie. Des équipes dédiées répondent également aux besoins des patientes en termes d’accompagnement psychologique, diététique, social, corporel…

« Grâce aux techniques d’imagerie médicale les plus récentes et aux prélèvements réalisés en sénologie interventionnelle, le diagnostic, l’évaluation de l’extension de chaque tumeur et la caractérisation biologique sont de plus en plus précis, ce qui permet de proposer le traitement le plus adapté à chaque patiente », précise le Dr Brigitte Sigal, directeur délégué pour la sénologie à l’Institut Curie.

Dernièrement, pour favoriser l’après-cancer, le passage entre la fin des traitements et le retour à la vie quotidienne, l’Institut Curie a mis en place une consultation d’entrée en surveillance. En amont de cette prise en charge globale et multidisciplinaire, les médecins et les scientifiques développent de nombreux projets, de la recherche fondamentale à l’innovation médicale, dont les résultats vont permettre de nouvelles avancées au bénéfice des patientes.

Source : Institut Curie