Marcher lentement prédit le risque de décès cardiovasculaire

Réalisée sur des personnes de plus de 65 ans recrutées dans le centre de Dijon de l’étude des Trois Cités, les résultats d’une étude menée par Alexis Elbaz, chercheur d’une unité mixte Inserm/Université Pierre et Marie Curie sont publiés online dans le British Medical Journal. Sur une période de cinq ans, les chercheurs ont montré que les personnes marchant le plus lentement avaient une augmentation du risque de décès, en particulier d’origine cardiovasculaire.

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