Poxel : de nouvelles données positives sur l’Imeglimine dans le diabète de type 2

Poxel : de nouvelles données positives sur l’Imeglimine dans le diabète de type 2 Poxel a annoncé aujourd’hui la présentation de données précliniques confirmant le profil de l’iméglimine comme nouveau traitement pour le diabète de type 2. Ces données ont été exposées dans un poster et une présentation orale au 14ème congrès mondial sur la résistance à l’insuline, le diabète et les maladies cardiovasculaires (WCIRDC) à Los Angeles.

L’Imeglimine fait l’objet d’une étude de Phase 2b en cours au Japon chez 300 patients, son programme de Phase 2 chez plus de 850 sujets aux États-Unis et dans l’UE étant désormais terminée.

Ce poster, intitulé, « L’iméglimine préserve la fonction et la masse des cellules bêta chez le rat mâle Zucker diabétique et obèse »1, démontre l’effet bénéfique de l’iméglimine sur la fonction des cellules bêta, ainsi que son potentiel pour retarder l’apparition du diabète de type 2. Ces données ont également été expoxées lors d’une présentation orale.

« Ces nouvelles données renforcent les résultats cliniques prometteurs et différentiants de l’iméglimine, notamment sur les bénéfices importants propres à son mécanisme d’action unique », déclare le Dr Harold E. Lebovitz, Professeur de médecine au département d’endocrinologie et du métabolisme/diabète du Health Sciences Center de la State University of New York à Brooklyn, et membre du comité scientifique consultatif de Poxel. « Ces données précliniques confirment la capacité de l’iméglimine à préserver la fonction des cellules bêta en augmentant la sécrétion d’insuline uniquement en réponse au glucose, et à préserver leur masse en réduisant le processus de mort cellulaire et en stimulant leur régénération. Si ces observations sont reproductibles chez l’homme, l’iméglimine pourrait retarder et/ou traiter l’évolution du diabète de type 2. »

Dans cette étude, des rats Zucker diabétiques et obèses âgés de 7 semaines ont reçu l’Imeglimine par voie orale à la dose de 150 mg/kg deux fois par jour pendant 5 semaines. Le traitement par Imeglimine a permis de préserver l’architecture des îlots, d’augmenter la masse des cellules bêta de 41 % (p<0,01), de réduire l’apoptose des cellules bêta de 52 % (p<0,05), et d’augmenter la prolifération de ces cellules bêta de 111 % (p<0,001), comparé aux témoins. Ces données mettent en évidence le potentiel de l’Imeglimine pour retarder l’apparition et ralentir l’évolution du diabète de type 2, grâce à la préservation de la masse des cellules bêta et à l’amélioration de leur fonction. Par ailleurs, l’étude a confirmé l’effet bénéfique de l’iméglimine sur la tolérance au glucose et la sécrétion d’insuline en réponse au glucose dans un modèle d’evolution progressive du diabète. Le poster présenté lors du congrès du WCIRDC est consultable sur le site web de la société sous la rubrique Publications scientifiques.

« Notre objectif est d’offrir aux patients de nouvelles options thérapeutiques pour améliorer la prise en charge de leur pathologie, » déclare Thomas Kuhn, Directeur Général de Poxel. « D’ici à mi-2017, nous avons prévu de présenter de nouvelles données démontrant les possibles bénéfices cardiovasculaires de l’iméglimine. Par ailleurs, conformément au calendrier prévu, nous prévoyons également de présenter des résultats de l’étude de Phase 2B chez 300 patients au Japon au cours du deuxième trimestre 2017. »

Source : Poxel